Relevés de températures :
Processeur à 65W :
Malgré un profil 65W plus violent, ce dernier représente toujours la phase la moins stressante de ce protocole. Elle permet de mettre en avant les performances obtenues avec des dissipateurs compacts/entrées de gamme. Ces résultats sont simplement présents à titre indicatif pour les dissipateurs les plus imposants (AIO, gros ventirad dual tower, etc.).
On attaque donc nos relevés de températures avec cette première passe avec un CPU consommant 65W. A ce sujet, le Pure Rock 2 affiche des températures similaires à celui du premier Pure Rock… Du moins lorsque son ventilateur fonctionne à plein régime. En réduisant sa vitesse de fonctionnement, on remarque que les degrés sont à la hausse, particulièrement à basse vitesse.
Dans les grandes lignes, on remarque que le dissipateur allemand rivalise avec le NH-U12S de Noctua, un modèle dit slim.
Processeur à 95W :
Ici, notre CPU tournera à 3.90 GHz constamment et sur tous ses cœurs. Nous appliquons un VCore de 1.375V pour obtenir une consommation de 95W environ. Pour simplifier la lecture du graphique, il se peut que nous ayons arrondi certaines valeurs à l’entier près.
Cette fois-ci on augmente la consommation de Ryzen 7 1700X en la poussant à 95W. Clairement, tous les dissipateurs ne sont pas taillés pour ce profil, c’est particulièrement le cas des petits modèles comme le Spire et le NH-L9a de Noctua.
De côté du Pure Rock 2, on retrouve une situation similaire au profil de 65W. En d’autres termes : à plein régime, il fait jeu égale avec son grand frère, mais dès que l’on régule son ventilateur, les températures augmentent. Cet écart reste négligeable en 8V, mais atteint rapidement plus de 4°C à bas régime.
Processeur à 125W :
Enfin, nous terminons avec notre profil 125W. Ici le dégagement thermique est plus important, voyons comment s’en sortent nos coolings !
Beaucoup de dissipateurs ne passent pas le profil de consommation 125W à bas régime. C’est également le cas du Pure Rock 2 qui affiche un échec lorsque son ventilateur sera réglé à faible vitesse. Encore une fois, à pleine vitesse, il égalise son aîné tout en commençant à accumuler du retard à mi-régime. Encore une fois, il se hisse au niveau du NH-U12S chromax.black de Noctua.
En bref :
Clairement, nous avons affaire ici à un dissipateur entrée de gamme, cela se ressent au niveau des températures relevées sur notre Ryzen 7 1700X. Les écarts de températures sont franchement marqués par rapport aux ténors du secteur : NH-D15, A500 et Cie…
Par ailleurs, nous avons également remarqué que, tant que le ventilateur tourne à pleine vitesse, le Pure Rock 2 rivalise avec le premier modèle. Par ailleurs, dès que le régime de ventilation diminue, l’écart se creuse favorisant ainsi le premier Pure Rock. Visiblement, l’absence de base en cuivre digne de ce nom ainsi que les 100 RPM de différence avec son grand frère semblent jouer dans cette différence. De peu il faut dire, mais c’est là. C’est dommage pour une version 2.
j’ai acheter le pure rock 2 pour remplacer watercooling hs pour mon ryzen 7 5700x et surpris du resultat 27 degres au repos et 45 degres en jeux et tous ca dans un silence monumental que meme le watercolling ne donnait pas
C’était quoi comme kit watercooling ?
ENERMAX AQUAFUSION 120
Après avoir dilapidé mon budget dans un nouveau Bumble je devais partir avec un petit budget avec un ventirad temporaire, le temps de retrouver un compte qui fasse bonne figure.
Après quelques recherche, je me suis tourné vers ce modèle. Il est tellement bien pour un 3600 à 4.2Mhz H24 qu’il y restera. Pour l’anecdote ça m’a permit de rebondir sur un kit de 16Go 3200MHz de ram supplémentaire