Douane chinoise, tu peux pas test !

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Être douanier doit être un métier à la fois passionnant et intrigant. Effectivement, ces gens-là doivent en voir de toutes les couleurs aux postes-frontière. De nouveau, la douane chinoise fait de parler d’elle via deux rapports publiés après des tentatives de contrebandes.

Premier cas : une femme arrêtée à la douane chinoise avec 200 barrettes de RAM ! 

Le premier cas est assez banal puisqu’une femme a tenté de passer la douane avec pas moins de 200 barrettes de RAM enroulées autour d’elle. Les faits se sont déroulés au poste-frontière de Shenzhen au port Huanggang. La personne en question a donc tenté de passer la frontière avec la marchandise enroulée autour de sa poitrine et de son abdomen. De nouveau, lorsque l’on se promène avec autant de matériel autour de soi, cela affecte la démarche, la silhouette, bref, quelque chose ne va pas, même avec des vêtements amples. C’est ce qui a mis la puce à l’oreille des officiers en poste. Après inspection, bingo, 200 barrettes de RAM.

Cependant, ce que ne disent pas les autorités, c’est à quel type de mémoire nous avons affaire, ni le montant de la cargaison.

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Second cas : 360 CPU cachés dans un bus transfrontalier !

Douane chinoise cachette CPUCette fois-ci, nous sommes toujours à la frontière sino-hongkongaise, mais du côté de Macau, au port de Gongbei. Là-bas, un conducteur de bus transfrontalier a également tenté de faire passer du matériel en douce, mais il s’agissait de processeurs. Ici, un total de 360 CPU ont été saisis par les autorités douanières. Leur cachette ? Après inspection au scanner, il s’est avéré que la marchandise était cachée au niveau de la paroi latérale entre les sièges conducteurs et passagers.

Douane chinoise cachette CPU

De nouveau, nous n’avons aucune idée quant au montant du préjudice ni du listing exact des processeurs. Cependant, on peut deviner qu’il s’agit de matériel récent, rien qu’à la forme de l’IHS. De nouveau, il semblerait qu’il s’agisse de Core i de douzième et treizième génération.

De nouveau, ce qui motive ce genre de pratique, c’est l’argent, encore et toujours. Effectivement, les passeurs achètent du matériel détaxé à Hong-Kong et tentent de le rentrer en douce en Chine pour le revendre. Sauf que la différence entre les deux, la TVA chinoise de 13%. Comme on dit, si le crime paie, alors crime il y aura.

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