En plus des AIO (test du Castle 280EX disponible ici) DeepCool propose également des boîtiers. Aujourd’hui, nous nous penchons sur le cas de leur dernière référence avec le test du CL500. Dans les grandes lignes, nous avons affaire à un modèle moyen tour orienté flux d’air. Que vaut-il dans la pratique ? Voyons cela !
L’extérieur du CL500 :
Avec ce CL500, le chinois DeepCool met en avant un boîtier au format moyen tour relativement classique. D’un point de vue dimensions, ce modèle affiche alors 226 (L) x 473 (P) x 519 (H) mm. Au niveau du poids, nous sommes face à un modèle mesurant 8.4 kg. À titre de comparaison, son gabarit se rapproche du H700i de NZXT. Au niveau des matériaux, la marque opte pour un châssis en acier avec une façade et un top en plastique. Enfin, le panneau latéral sera en verre trempé.
Concernant le design, nous n’allons pas tourner autour du pot, nous apprécions grandement le look de ce CL500. Ici, la marque joue la carte de la sobriété avec une façade affichant des lignes verticales noire du plus bel effet. Ces dernières partent du haut du boîtier pour finir leur course jusque dans le bas. Bref, tout ceci confère une allure toute en verticalité.
Pour le refroidissement, pas de panique puisque l’air frais aura de quoi s’engouffrer dans le boîtier. L’espace entre chaque ligne de la face avant est vide, ce qui devrait permettre au PC de bien respirer.
Le panneau de contrôle :
La connectique du CL500 se retrouve sur le dessus du boîtier. Cette dernière prend place sur une bande de plastique pleine entre les lignes de la face avant du dessus du boîtier. À ce sujet, cette référence met en avant :
- 1x diode d’état
- Les boutons de mise sous tension et reset
- 2x USB 3.0 Type A
- 1x Jack 3.5″
- 1x USB Type C
Enfin, avec toute cette connectique, on notera la présence d’un troisième bouton. Sa fonction sera de soulever le dessus du CL500, mais nous y reviendrons…
Le dessous :
Sous le boîtier, il n’aura rien d’extravaguant. Sous ce modèle, nous retrouverons deux pieds parcourant la longueur totale du boîtier. Aux extrémités de ces derniers, nous avons deux patins en mousse qui n’adhéreront pas particulièrement. Cela étant, nous préférons cela puisqu’ils faciliteront le montage en nous permettant de tourner le boîtier facilement.
Pour finir, vers l’arrière de ce modèle, nous avons le droit à un filtre qui protégera l’alimentation de la poussière. Malheureusement, il ne sera pas des plus accessibles puisque pour le nettoyer, il faudra soulever le PC.
L’arrière :
À l’arrière, on reste sur une organisation bien connue avec l’emplacement I/O de la carte mère dans le haut et l’alimentation dans le bas. Sur le côté, nous avons de quoi installer un ventilateur, que l’on pourra régler en hauteur selon cinq positions. On termine en contrebas avec les sept slots d’extension en mesh. Dommage, on ne pourra pas installer notre carte graphique à la verticale.
Le dessus :
Comme nous vous le disions, le dessus du boîtier pourra être soulevé afin d’être retiré. D’une part, pour des opérations de maintenance comme un dépoussiérage, d’autre part, afin d’accéder aux emplacements des ventilateurs. Cette partie se retire facilement après une simple pression du bouton d’extraction et se remet en place avec une simple pression.
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Superbe test !
concernant la compatibilité watercooling, il y a comebien d’espace entre le haut du boitier( fix 240mm) et le haut de la carte mère ? et aussi pour fixer une pompe ca donne quoi ? ya de quoi faire sans percer ?
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