Processeur à 3.9 GHz :
Ventilation sans PWM (1700 tr/min) :
Et c’est parti pour toute une série de relevés de température. Pour fêter cela, on commence avec notre Core i7 4770K fonctionnant à sa fréquence d’origine, soit 3.9 GHz. La ventilation est calibrée à 100% de sa capacité.
On commence donc à fréquence de base et la ventilation fixée à plein régime. Comme on peut le voir, le Orcus 240, dans ces condition se situe plutôt en bas de la sélection, au niveau du MasterLiquid 240 et du Silent Loop 240. A ce niveau, les température ne sont pas catastrophique, loin de là. Ici, notre Orcus fait mieux qu’un gros dissipateur double tour comme le R1 Ultimate.
Ventilation en mode PWM :
Toujours à 3.9 GHz, nous basculons cette fois-ci la ventilation en mode PWM. À ce niveau, la carte mère prend le relais, les moulins fonctionneront moins vite. Des températures en hausse sont à prévoir.
En mode PWM, le Orcus 240 s’en sort légèrement mieux que le MasterLiquid 240 qu’il égalait sur le test précédent. En effet, cet AIO se situe maintenant deux degrés devant son homologue Cooler Master. Avec 58°C au thermomètre, cet AIO se positionne maintenant au niveau d’un H115i pourtant une taille au-dessus.
Processeur à 4.2 GHz :
Ventilation sans PWM (1700 tr/min) :
À partir de maintenant, nous nous attaquons à l’overclocking. Ce coup-ci, notre CPU sera cadencé un peu plus haut puisqu’il montera à 4.2 GHz. Ici, nous activons le mode 12V, en résulte une ventilation calibrée à 100%.
Avec un léger overclocking, notre CPU chauffe davantage et ceci se voit au niveau des températures. En effet, notre CPU passe de 46°C à 52°C. D’ailleurs, avec 52°C, le Orcus 240 de Raijintek se positionne pile entre un Celsius S24 (base Asetek) de Fractal et le MasterLiquid de Cooler Master. Le H115i qu’il égalait à l’instant se place devant grâce à sa puissante ventilation.
Ventilation en mode PWM :
Nous sommes toujours à 4.2 GHz et nous poursuivons cette fois-ci avec la ventilation en mode PWM. Comme dit précédemment, les températures remontent !
En repassant en mode PWM, notre CPU reprend 2°C. Si vous êtes forts en maths (on n’en doute pas), vous aurez deviné que notre i7 4770K est maintenant à 54°C. Le Orcus 240 se place dorénavant entre un Celsius S24 et un H115i. En PWM, la ventilation de notre exemplaire de test doit être plus efficace que celle de l’AIO Corsair.
Processeur à 4.5 GHz :
Ventilation sans PWM (1700 tr/min) :
Enfin, nous arrivons en fin de course avec un overclocking plutôt conséquent. Cette fois-ci, nous basculons notre CPU à 4.5 GHz. La ventilation est réglée en mode 12V, à 100% de sa capacité. Voyons ce que cela donne.
Avec un overclocking plus conséquent, le Orcus 240 maintient notre Core i7 4770K à 67°C. Bien qu’on se rapproche de la barre des 70°C, aucun refroidissement de notre sélection ne l’a franchie. D’ailleurs, avec 67°C au compteur, notre AIO du jour se positionne au niveau des Eisbaer LT 240, MasterLiquid 240 et Silent Loop 240, tous des watercooling AIO en 240 mm.
Ventilation en mode PWM :
Les relevés de température se solderont par une ventilation basculée à nouveau en mode PWM. Ici, nous sommes toujours à 4.5 GHz.
Enfin, avec la ventilation qui repasse en PWM, nous enregistrons cette fois-ci 70°C sur notre CPU. Le Orcus 240 se positionne cette fois-ci pile poil en face du MasterLiquid 240 de Cooler Master. Enfin, le R1 Ultimate, qui reste un excellent dissipateur se cale encore derrière avec 71°C.
Comme nous avons pu le voir, le Orcus se positionne plutôt au niveau d’un MasterLiquid en terme de température. Tantôt il fait légèrement mieux en se payant le luxe d’égaler le Corsair H115i. Notre AIO est aussi à l’aise en overclocking en ne dépassant pas la barre des 70°C en mode PWM. Ne reste maintenant plus qu’à voir si cet Orcus 240 est bruyant à l’usage. Pour cela, rendez-vous page suivante !
