Débits séquentiels et aléatoires :
Nous passons ensuite aux tests synthétiques, réalisés via divers benchmarks. Le premier sera Crystal Disk Mark dans sa version 6.0.2 x64. Nous récupérerons les valeurs de lecture et écriture en mode séquentiel et aléatoire. L’intérêt de Crystal Disk Mark est qu’il montre les résultats en lecture/écriture séquentielle, aléatoire et aléatoire avec plusieurs queues.
Lecture séquentielle :
On commence à voir les performances sur ce genre de test, les SSD sont en mode « à fond la caisse », laissant libre court à leurs capacités techniques.
Les lectures séquentielles sont toujours représentatives des performances maximales des équipements. Ici, rien à dire, le FireCuda Gaming SSD bénéficie de toute la puissance de son SSD NVME FireCuda 510. La limite sera à incomber sans aucun doute à la partie transport entre le port M.2 du SSD et l’USB-C de la carte mère, limite à un peu moins de 990 Mo/s. Pour preuve en est le relevé de 1619 Mo/s en moyenne câblé directement sur le connecteur M.2.
Écriture séquentielle :
En écriture, le débit reste très bon, avec 993 Mo/s que dire de plus ?
Lecture aléatoire :
Sur le test du Crucial X8, nous avions dû modifier l’échelle de valeur en abscisse pour voir les résultats. Point besoin de ce changement avec le FireCuda Gaming SSD, puisqu’il dépasse toute la concurrence avec 60 Mo/s en lecture QD1, et 250 Mo/s en QD32.
Écriture aléatoire :
L’écriture suis le pas de la lecture, avec un très bon 71 Mo/sen QD1. L’avance du FireCuda Gaming SSD en USB-C sur le Crucial X8 est moins bonne qu’en lecture, mais c’est toujours ça de pris. En QD32 par contre, c’est vraiment un bon relevé à 240 Mo/s. Rien à redire.
Merci pour le test, mais c’est dommage de n’avoir rien mis sur les performances hors cache SLC, c’est pour moi l’information la plus pertinente.
Tout à fait d’accord avec toi, l’écriture hors cache est le point faible des SSD, surtout en mémoire QLC. A voir pour faire une MAJ du protocole dans le futur. Note est prise 😉