Installation :
Hop, on enchaîne sans perdre de temps avec l’installation du kit Antec Mercury 240 sur notre configuration de test. L’ensemble proposant des backplates pour tous les sockets, pas d’inquiétude si vous avez lâché celle de votre carte mère AMD.
L’installation sur socket Intel LGA-115x et AMD AMx étant similaires, on développera les deux en parallèle, comme d’habitude en sorte.
Intel/AMD :
Quelle que soit la plateforme visée, il faudra avant tout préparer la backplate. Pour cela, on viendra insérer les pas de vis dans cette fameuse backplate. Encore une fois, l’emplacement de ceux-ci dépendra de la plateforme ciblée. Le maintien se fera grâce à des pièces en plastique qui viendront s’insérer autour des vis.
Côté Intel, on viendra installer une entretoise carrée et des patchs collants. Ici, contrairement à ce que stipule la notice, les plus épais sont dédiés aux sockets Intel alors que les plus fins sont à destination des plateformes AMD.
Maintenant, on prépare la pompe. Pour cela, on viendra visser les braquets correspondant à notre socket directement sur le bloc. Quatre petites vis sont alors nécessaires. Attention à bien disposer le braquet vers le haut.
Il est temps d’appliquer de la pâte thermique sur le CPU et de fixer le tout. Quatre grosses vis à mains avec ressort sont requises. On n’oubliera pas d’enfiler une rondelle sur chacune des vis à ressort. Et maintenant on visse, on visse, on visse… Et ça n’en finit pas. Effectivement, ça sera à nous de gérer la pression exercée sur le socket puisqu’il n’y a pas de butée… Sauf si on arrive au bout. Bref, pas évident.
On poursuit avec le branchement. Pour ce faire, on branchera la pompe avec le « Power Line » (noté sur le sachet). On connecte la pompe via son connecteur mini-USB et on branche la partie SATA. Enfin, pour savoir à quelle vitesse tourne l’ensemble, on connectera la prise trois broches sur une prise fan de la carte mère.
En bref, on retiendra une installation relativement simple, avec, néanmoins, un serrage approximatif de la pompe. Effectivement, on ne sait pas quand s’arrêter. Doit-on serrer à fond… Ou pas… Bref, ce n’est pas évident.
