Test : Cougar Conquer

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Extérieur

Pfiou, le boîtier est monté, on va pouvoir faire un petit tour du propriétaire, mais à l’extérieur dans un premier temps.

Pour le coup, on débute avec les dimensions globales de ce petit monstre. Ici, le Conquer mesure 255 (L) x 685 (P) x 580 (H) mm. Au niveau des matériaux, Cougar propose une référence entièrement en aluminium avec deux panneaux en verre trempé. Enfin, question carte mère, on pourra installer des références ATX, micro-ATX et mini-ITX.

D’un point de vue design, nous avons un boîtier qui a une sacrée gueule et c’est peu dire. Il y a du contraste (noir, orange), c’est déstructuré, on a de l’open frame, c’est aérien, bref, on sent que les designers de Cougar se sont lâchés. Et c’est un pari puisque tout le monde n’est pas sensible à ce type de design… Comme on dit, l’égout et les couleurs…

Et ce petit Conquer ne mise pas que sur le design, les finitions sont elles aussi au rendez-vous. Puisque lors de l’assemblage, aucun couac. Tous les trous étaient les uns en face des autres, on a le droit à des ajustements précis, aucun pas de vis foireux… Bref, chapeau bas.

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Le panneau de contrôle : 

Extérieur Avec son MasterCase H500P, Cooler Master nous propose une référence au format moyen tour mesurant 242 mm de largeur, 544 mm de profondeur et 542 mm de hauteur. Ici, le boîtier pèse 11.3 kg. Avec de telles dimensions, on pourra installer aisément des cartes mères au format E-ATX, ATX, micro-ATX et mini-ITX. D’un point de vue design, on retrouve un boîtier au look plutôt travaillé. Effectivement, nous avons quelque chose d’assez aérien malgré tout, une sensation renforcée par des plastiques transparents en façade et sur le dessus. La parties latérales affichent des formes trapézoïdales avec des inserts en mesh de sorte à laisser respirer la ventilation. Malgré « une belle gueule », il faut noter quelque chose, les plastiques en question sont cheap et plus particulièrement sur la façade. Une fois déboîtée, ça craque, ça se tord facilement, bref, nous sommes moyennement emballés à ce niveau. Ces parties détachables ont l'air d'être de basse qualité, et auraient clairement pu être plus travaillés. Le panneau de contrôle :  Le panneau contrôle du boîtier est plutôt bien fournit et prend place sur le dessus du boîtier. Cette partie est inclinée, ce qui facilite son accès. Quoi qu’il en soit, il est constitué de : 2x USB 3.0 2x USB 2.0 Des prises casques et micro en Jack 3.5’ Un bouton power Un bouton reset Une diode d’activité pour le stockage Concernant le bouton power, on constate que ce dernier reprend la forme du logo Cooler Master. Pour pousser les détails plus loin, on aurait bien vu le logo du constructeur à cet endroit. Le dessous :  Sous le MasterCase H500P, on ne constatera rien de bien particulier si ce n’est le filtre d’alimentation. Ce dernier est en nylon et est facilement accessible par l’arrière du boîtier et pourra être nettoyé à l’eau si besoin. Autrement, quatre pieds en plastique de même couleur que la façade sont de la partie. Une bande de caoutchouc antidérapant les recouvrent et pas de doutes, ça ne dérape pas ! L'arrière :  L’arrière du boîtier est plutôt classique avec un emplacement I/O dans le haut et un emplacement pour ventilateur à sa droite. On poursuit avec sept slots d’extensions à l’horizontal et deux autres à la verticale. Nous pourrons alors mettre en valeur notre carte graphique via un riser. Pour finir, nous avons notre emplacement pour alimentation tout en bas. Le dessus :  Au-dessus du boîtier, nous avons une partie en plastique qui reprend les mêmes motifs que la façade et des inserts en mesh. Ici aussi, une partie transparente court sur tout le long du boîtier. Cette partie "dissimule" les emplacements de ventilation situés sur le dessus du MasterCase H500P. L’emboîtement entre le top et la façade se fait au niveau du panneau de contrôle. Un petit effort aurait été à faire à ce niveau puisque les ajustements ne sont pas des plus précis. Finalement, le H500P est un boîtier qui présente plutôt bien tant qu’on ne le regarde pas de trop près. Les parties plastiques ne sont pas des plus qualitatives et l’emboîtement entre le top et la façade reste visible... Autrement, nous avons un design plutôt attrayant et un châssis qui s’annonce plutôt classique en interne. Mais pour le savoir vraiment, rendez-vous à l’intérieur.Enfin bref, fini de s’extasier sur ce joli boîtier, ça ne va pas se tester tout seul. Bien qu’Open Frame, on commence ce petit tour par le panneau de contrôle. Ici, c’est plutôt léger et la marque va clairement à l’essentiel avec :

  • Deux USB 3.0
  • Les prises casques et micro en Jack 3.5
  • Un bouton reset
  • Un bouton power
  • Les diodes d’état dans les boutons d’alimentation

Ici, c’est simple clair et concis. Le constructeur ne met pas de fioritures au niveau du panneau de contrôle. Il ne faudra pas avoir trop de périphériques USB à brancher sur le boîtier en simultané. Aller, on va jouer les casse-pieds, un petit USB Type C aurait été top pour suivre l’évolution.

Le dessous : 

Cougar ConquerSous le boîtier, il n’y a finalement pas grand-chose d’autre que du vide. Sauf si l’on compte les deux pieds montés page précédente. D’ailleurs, en parlant, ces derniers sont plutôt imposants et assurent un bon maintien de la machine. Deux bandes de mousse isolante sont installées et permettent de faire glisser le Conquer assez facilement. Déjà, on y voit un avantage, la machine sera plus simple à manipuler lors du montage !

Si on regarde attentivement, on remarquera aussi la structure qui accueillera l’alimentation. Cette dernière se trouve environ sur la moitié de la longueur du Conquer.

L’arrière : 

Cougar ConquerÀ l’arrière, même constat, du vide. Toutefois, comparé à un boîtier plus « standard », on retrouve un agencement intéressant.

Bon, vous êtes au courant, l’alimentation ne s’installera pas sous la carte mère, mais en plein milieu du boîtier.

Ensuite, second constat, l’emplacement de la carte mère est incliné vers l’arrière. Les cartes graphiques seront donc installées en biais ce qui a le mérite d’apporter un peu d’originalité.

Le dessus : 

Sur le dessus du boîtier, nous retrouvons notre fameux capot qui protège les ventilateurs que nous avons installés précédemment. Pour le soulever, deux vis à retirer par l’arrière et on fait basculer. Autrement, sachez que cette partie est entièrement amovible à condition d’enlever les quatre vis.

Après un petit tour du propriétaire une fois boîtier assemblé, y’a pas de doute, ça à de la gueule, c’est bien fini, bref, CestBeauEtCestBienFini/20 ! De plus, on remarque que l’agencement interne n’est clairement pas habituel ce qui promet une certaine originalité lors du montage. Mais pour voir à quoi ça ressemble une fois la configuration dedans, pas le choix, il faut passer par l’intérieur !

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