Test : Phanteks Eclipse P600S

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Après s’être pas mal concentré sur autre chose que des boîtiers, petit retour sur ce secteur avec le test d’une nouvelle référence. Aujourd’hui, on s’attaque au petit dernier de chez Phanteks à savoir le Eclipse P600S. Un nouveau boîtier que la marque nous à généreusement fait parvenir. Que vaut-il à l’usage ? Voyons cela ensemble, let’s go !

Phanteks Eclipse P600S

Sommaire :

  1. Extérieur
  2. Intérieur
  3. Installation
  4. Protocole
  5. Test
  6. Conclusion
  7. Galerie

Extérieur :

Comme d’habitude, on commence par un petit tour de l’extérieur du boîtier. Avec le P600S, Phanteks nous propose une référence moyen tour mesurant 240 mm de largeur, 510 mm de profondeur et 520 mm de hauteur. Le tout ne sera pas spécialement léger avec un poids de 13.5 kg. On trouvera sans grande difficulté des références de format équivalent, mais plus légère. Cela est dû à son isolation phonique. 

Phanteks nous propose un boîtier soigné esthétiquement parlant. Le tout propose un boîtier sobre dans la veine de l’eclipse P400S que nous testions ici. En effet, on y retrouve des lignes très similaires, mais plus arrondies.  

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Le boîtier propose une structure intégralement en acier, intérieur, comme extérieur ce qui confère une sensation de solidité à l’ensemble. Peu importe l’endroit, lorsque l’on tapote dessus, le son qui s’en dégage est sec et étouffé, synonyme d’un bon assemblage et de matériaux de qualité. 

De notre côté, nous avons reçu la version anthracite histoire de changer du noir intégral. Attention lors des manipulation car la peinture à fâcheuse tendance à marquer les traces de doigts. La preuve est faite au niveau du cache I/O. 

Le panneau de contrôle :

Phanteks Eclipse P600S

Cet Eclipse P600S arrive avec un panneau de contrôle dissimulé derrière une petite trappe à bascule. Derrière cette dernière se trouve la connectique du boîtier et on y retrouve : 

  • 2x USB 3.0
  • 1x USB Type C
  • Un bouton reset
  • Les prises jack casque et micro

Au premier abord, on pourrait croire que la trappe souffre d’un soucis d’ajustement. Elle est légèrement soulevée par rapport à la façade, mais cela permet de la relever plus facilement, donc pas de panique. 

Le dessous :

Phanteks Eclipse P600S

Sous le boîtier, nous avons quatre pieds avec un revêtement en caoutchouc qui adhérera bien sur la surface sur laquelle il est posé. 

Autrement, un petit filtre d’alimentation est situé à l’arrière du P600. On pourra le retirer simplement en tirant dessus. Dommage de ne pas avoir jouer la carte de l’accessibilité à la be quiet! avec son Silent Base 601. 

Bref, on terminera par les nombreuses encoches ici et là. Celles-ci étant présente pour positionner les paniers HDD librement. Mais on y reviendra. 

L’arrière :

Phanteks Eclipse P600S

L’arrière du boîtier change quelque peu de ce que l’on peut voir habituellement. Tout en haut, on retrouvera un cache faisant office d’emplacement I/O. Effectivement, dans ce P600S, on pourra installer une seconde configuration mini-ITX à condition d’acquérir le support de montage adapté : PH-ITXKT_R01.

Sinon, on remarquera la présence de trois slots d’extensions à la verticale outre les sept verticaux habituels. On pourra installer sans encombre une carte triple slot de cette manière. Un excellent point lorsque l’on considère l’encombrement de certaines références actuelles (certaines EVGA XC par exemple). 

Le dessus :

Phanteks Eclipse P600S

Sur le dessus, nous avons une partie amovible recouverte d’isolant phonique maintenue par des aimants. Pour le retirer, il faudra bien tirer dessus, les aimants remplissant bien leur rôle. Une fois enlevé, on y retrouve une aération avec une partie en tissu. Ce système, on le retrouve également en façade. Bref, un moyen de s’assurer d’avoir un boîtier silencieux, mais qui peut offrir un bon flux d’air en cas de besoin. 

Phanteks Eclipse P600S

Avant de passer à la suite, petit aparté sur la façade et ses ouvertures. Lorsque le capot sera en place, le flux d’air passera par les inserts latéraux, idéal pour une configuration silencieuse. Toutefois, en cas de besoin, on enlève la partie frontale et la machine respire. D’ailleurs, cela se voit clairement dans notre partie test. 

Comme nous avons pu le voir, l’Eclipse P600S de Phanteks est un boîtier qualitatif misant sur le bruit et les performances en cas de besoin. Si la machine à un coup de chaud, on enlèvera simplement les parties frontales et supérieures.
Des options intéressantes sont de la partie, comme l’emplacement pour une seconde carte mère ITX ou les trois slots d’extension à la verticale pour les cartes triples slots. Notre seul regret concerne la peinture qui marque trop facilement les traces de doigts. 

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