Les benchmarks de la série 3DMark :
Notre première série de tests va être dédiée aux benchmarks synthétiques. Ceux-ci sont très souvent utilisés pour les compétitions d’overclocking, mais sont également très intéressants pour comparer les différents GPU entre eux. Nous allons donc privilégier les benchmarks de la série 3DMark. Pour cette nouvelle mouture de nos graphiques, et pour la partie des tests 3DMark, nous avons également isolé le score GPU. Vous retrouverez donc, quand cela est stipulé dans le benchmark, le score global et le score GPU.
3DMark Fire Strike et Fire Strike Ultra :
Débutons avec 3DMark Fire Strike, qui est l’un des benchmarks les plus utilisés actuellement. Il se compose de deux tests graphiques, d’un test CPU ainsi que d’un quatrième test qui combine GPU et CPU. N’oubliez pas de désactiver la démo qui n’apporte rien dans le score final et prolonge la durée (inutilement) du benchmark. La version utilisée pour ces tests est bien entendue la dernière en date.
On débute nos tests avec les deux benchmarks Fire Strike et Fire Strike Ultra, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça débute fort. Même si nous aurions aimé voir l’AORUS RTX 5080 Master plus proche de la RTX 4090, elle est bien largement devant la RTX 4080 Super. Face à la RTX 5080 FE, le gain est de 4 à 5 %.
3DMark Time Spy et Time Spy Extreme :
Le second test est 3DMark Time Spy. Bien que celui-ci se réalise en 1440p, il a surtout comme particularité d’utiliser DirectX 12. Il se compose de deux tests graphiques et d’un test CPU. Comme pour Fire Strike, n’oubliez pas de désactiver la démo. Ces deux premiers benchmarks sont proposés par UL Benchmark.
On continue avec Time Spy où les résultats restent encore bien élevés. Notre AORUS RTX 5080 Master conserve la troisième place, devant la RTX 4080 Super mais derrière la RTX 4090. Souvent, Time Spy donne une première idée des performances en jeu, et nous devrions donc avoir notre RTX 5080 derrière la RTX 4090 en rastérisation, mais reste à voir de combien de pourcents, surtout avec un modèle disposant d’un overclocking d’usine.
3DMark Speed Way :
Dernier benchmark en date proposé par Ulbenchmark et c’est plaisant de pouvoir se dire que nous allons bencher sur ce Speed Way. Il utilise DirectX 12 et est par défaut dans une définition de 1440p. Nous n’avons rien modifié et nous utilisons donc le benchmark d’origine.
Dans Speed Way, notre sample du jour s’empare une fois de plus de la troisième place avec un score de 9407 points, laissant la RTX 4080 à 2017 points d’écart.
3DMark Port Royal :
Voilà un benchmark que nous avions laissé de côté l’année dernière mais que vous avez souhaité revoir figurer dans nos tests. Il reste encore très utilisé notamment dans la communauté des overclockeurs. Nous avons donc décidé de le rajouter à nos tests.
Le constat reste identique, une troisième place pour notre AORUS RTX 5080 Master. Le gain avec la RTX 5080 Founders Edition est de 4 %.
3DMark Steel Nomad :
Dernier benchmark en date de la suite 3DMark, Steel Nomad viendra donc remplacer l’actuel Time Spy dans la suite 3DMark, comme benchmark plus récent. Toutefois, la bonne nouvelle, c’est qu’il sera gratuit pour les utilisateurs disposant déjà d’une clé. Au programme, l’entreprise met en avant un banc de test basé sur l’API DirectX12 de Microsoft. Toutefois, il n’y aura pas de ray tracing, mais la scène utilisera un niveau « extrême » de géométrie et de lumière rastérisée.
Enfin, l’avant dernier benchmark de la série 3DMark, Steel Nomad, fraichement débarqué, permet à notre AORUS RTX 5080 Master d’être toujours installé à la troisième place.
3DMark NVIDIA DLSS :
Nous avons ici ajouté ce benchmark qui met en évidence le potentiel du DLSS, puisqu’il sera dorénavant compatible avec le DLSS 4. L’occasion ainsi pour nous de le tester avec cette AORUS RTX 5080 Master.
Enfin, dernier benchmark de la série 3DMark, NVIDIA DLSS feature test va nous permettre de mettre en évidence, pour la première fois, l’apport de la technologie DLSS 4. Pour rappel, le Frame Generation, sur les RTX 5000, pourra être sélectionné en x2 (une image), x3 (deux images) ou en x4 (trois images). On parle ici du nombre d’images supplémentaires pouvant être ajoutée entre entre deux images natives.
Ci-dessus, les paramètres que nous retrouvons au sein du benchmark et qui nous permettent de choisir le nombre d’images générées.