Lors de la GTC à Washigton, NVIDIA a fait un certain nombre d’annonces qui ont propulsé son action boursière. Clairement, le titre stonks comme pas permis et la valorisation boursière totale de l’entreprise avoisine les cinq mille milliards de dollars actuellement. Pour se faire une idée de la chose, actuellement, le caméléon a plus de valeur que la dette de la France.
NVIDIA, bientôt cinq mille milliards de dollars de valorisation boursière !
Clairement, la GTC a joué un rôle majeur dans la hausse du cours des actions de l’entreprise. Rien que mardi, le cours a pris 5%, tout ceci venant contribuer à la hausse générale du cours de 50% depuis le début de l’année. Bref, tout ceci n’est que la réaction très positive des marchés suite aux annonces du PDG de l’entreprise.
En effet, la société se porte très bien malgré les tensions avec la Chine. Sur scène, Jensen Huang présentait un premier prototype de Vera Rubin et annonçait des caractéristiques impressionnantes. Dans un second temps, les prévisions de vente de l’entreprise pour 2026 sont en forte hausse : $500 milliards rien qu’en GPU, un objectif jugé crédible si l’on tient compte des $100 milliards générés au premier semestre de cette année. Enfin, la marque annonçait un partenariat avec le département de l’énergie américaine pour la construction de sept superordinateurs, dont un intégrant 10 000 cartes Blackwell.
Tout ceci renvoie donc un signal positif de l’entreprise ce qui motive les investisseurs à acquérir de l’action NVIDIA. Par effet de rebond, les cours augmentent et la valorisation de la société également.
Néanmoins, les verts ne sont pas sans concurrence, AMD est en train de rattraper son retard avec sa future Mi450 qu’ils arrivent à vendre à pas mal d’entreprises dont OpenAI ou Oracle par exemple. Mais NVIDIA ne semble pas être le genre d’entreprise à reposer sur ses lauriers, la preuve, l’innovation continue de son côté !


