Les benchmarks synthétiques :
Notre première série de tests va être dédiée aux benchmarks synthétiques. Ceux-ci sont souvent utilisés pour les compétitions d’overclocking mais sont également très intéressants pour comparer les différents GPU entre eux. Nous allons donc privilégier les benchmarks de la série 3DMark.
Nous testerons les benchmarks suivants :
- Fire Strike (1080p)
- Fire Strike Ultra (2160p)
- Time Spy (1440p)
- Time Spy Extreme (2160p)
- DirectX Raytracing
- Mesh Shader
3DMark Fire Strike et Fire Strike Ultra :
Débutons avec 3DMark Fire Strike, qui est l’un des benchmarks les plus utilisés actuellement. Il se compose de deux tests graphiques, d’un test CPU ainsi que d’un quatrième test qui combine GPU et CPU. N’oubliez pas de désactiver la démo qui n’apporte rien dans le score final et prolonge la durée (inutilement) du benchmark. La version utilisée pour ces tests est bien entendue la dernière en date.
Premier benchmark que nous réalisons avec cette RTX 3050 et on se rend compte directement de son positionnement dans la gamme des RTX 3000. Nous sommes effectivement bien sur de l’entrée de gamme. Comme nous l’avons dit dans l’introduction, nous reviendrons sur un article dédié au 1080p dans quelques jours en ajoutant d’anciennes cartes.
Même constat sous Fire Strike Ultra avec un score de 3641 points face aux 5382 points de la RTX 3060.
3DMark Time Spy et Time Spy Extreme :
Le second test est 3DMark Time Spy. Bien que celui-ci se réalise en 1440p, il a surtout comme particularité d’utiliser DirectX 12. Il se compose de deux tests graphiques et d’un test CPU. Comme pour Fire Strike, n’oubliez pas de désactiver la démo. Ces deux premiers benchmarks sont proposés par UL Benchmark.
Les performances obtenues dans Time Spy sont toujours assez représentatives de ce que nous aurons dans les jeux. Ici, on peut constater que la RTX 3050 Gaming OC est 28% moins performante que la RTX 3060. Nous devrions donc nous retrouver avec des résultats assez proches dans les jeux que nous testerons.
Sous 3DMark Time Spy Extreme, notre sample du jour obtient un score de 3154 points.
3DMark DirectX Raytracing :
UL Benchmarks a ajouté un nouveau test dans sa série de benchmarks permettant de mesurer les performances en Ray Tracing. L’idée sera d’utiliser le test 3DMark DirectX Raytracing afin de comparer les performances du matériel de Ray Tracing dédié aux cartes graphiques d’AMD et de NVIDIA.
Le test de la fonction 3DMark DirectX Raytracing est conçu pour faire du Ray Tracing le facteur limitant. Au lieu de s’appuyer sur le rendu traditionnel, toute la scène est tracée et dessinée en une seule passe. Le résultat du test dépendra entièrement des performances du Ray Tracing. Il sera ainsi facile de mesurer et comparer les performances des différentes cartes entre elles.
L’avantage du Ray Tracing est bien toujours pour les verts, avec notre RTX 3050 qui obtient un score meilleur que la RX 6700 XT des rouges.
3DMark Mesh Shader:
Voici le nouveau test que nous avons ajouté aux benchmaks synthétiques : Mesh Shader. Nous l’avons ajouté puisque gérés par l’architecture RDNA 2 d’AMD et donc nos RX 6000. Il permet d’analyser le niveau de performances des GPU concernant cette fonctionnalité. Pour rappel, elle permet d’exploiter des calculs plus complexes au niveau de la géométrie, de manière plus flexible, pour chaque meshlet. Le résultat affiché est celui avec les Mesh Shaders actifs.
Notre Asus RTX 3050 Strix Gaming OC obtient un score de 200 points respectant ainsi l’ordre que nous avons obtenu précédemment pour ces cartes destinées au 1080p.