Test : Cougar Panzer Evo RGB

Installation

On passe maintenant à l’étape de montage de notre configuration à l’intérieur du Panzer Evo RGB. Avec le nouveau protocole, la configuration de test change quelque peu. La voici donc :

• Carte mère : ASUS Crosshair VI Hero
• CPU : AMD Ryzen 7 1700X
• Carte graphique : ASUS HD 7970
• Ventirad : Cryorig H7 Quad Lumi
• Alimentation : Corsair HX850

L’alimentation : 

Le montage de l’alimentation se fera simplement en glissant le bloc à son emplacement. Bien entendu, il faudra, au préalable, veiller à avoir retiré le cache alimentation. Ici, ce n’est pas sorcier, une petite vis à retirer à l’arrière du plateau de la carte mère et une simple pression dessus suffiront à l’enlever. Enfin, après avoir déposé notre bloc, on le visse par l’arrière du boîtier.

Le stockage : 

Pour la partie stockage, il n’y a pas de secrets, cela se passe comme sur le Panzer Max premier du nom.

Ainsi, pour les unités 2.5″, il suffit de glisser le SSD (ou HDD) à l’intérieur des systèmes de cassette. Il y en a quatre, quatre possibilités.

Sinon, pour le stockage 3.5″, idem, on viendra libérer un des deux paniers à l’aide d’une vis à main et on tire le panier vers le haut. Ensuite, on glisse le disque dur dedans, on remet le panier et on revisse le tout.

La carte mère, ventirad, carte graphique : 

On commence par la carte mère et clairement, c’est simple comme bonjour. On la dépose à son emplacement, et huit coups de tournevis là voici fixée. Pourquoi 8 coups ? Simplement parce que l’entretoise du milieu présente un petit ergot visant à caler la carte mère une fois en place. Pas besoin d’entretoise, la plaque de la carte mère est prévue pour fonctionner sans. Fini les galères avec les entretoises qui foirent.

On peut par contre noter que la plaque de la carte mère semble assez fine, ce qui la rend malheureusement un peu « flexible ».

Pour le ventirad, même chanson que sur bon nombre de boîtiers testés jusqu’à présent. Il y a un large accès backplate, ce qui nous laisse suffisamment de place pour manipuler la backplate et suivre les étapes de montages du dissipateur.

Avec la carte graphique, même topo. On repère les slots qui seront occupés, on retire les équerres PCIe à l’aide d’un tournevis (pour enlever les vis qui les maintiennent) et on connecte la CG à la carte mère et on la visse au boîtier.

Le câblage :

Les choses se compliquent avec la partie câblage. Dans un premier temps, on commence comme à notre habitude. C’est-à-dire que nous commençons par câbler la partie front panel. On fait passer les câbles du panneau de contrôle par le bas du boîtier, idem pour le header USB 3.0. L’USB Type C quant à lui, nous le faisons ressortir au niveau de l’ATX 24 broches en lui faisant faire une boucle.

La partie alimentation ne pose pas de soucis particuliers. Effectivement l’alimentation CPU repart par l’arrière du boîtier tandis que ATX 24 broches et PCIe sortent par le passe câble du haut. Quelques colliers, et on plaque tout ce qui aura été câblé jusqu’à présent ensemble.

Toutefois, les choses se compliquent au moment de mettre en place le boîtier de contrôle pour la partie RGB. En effet, il s’alimente par Molex, donc un brin à rajouter à notre alimentation. Puis, nous avons un connecteur RGB pour chaque ventilateur. Ici, pas le choix, nous avons rangé tout ceci dans le bas du boîtier. D’autant qu’il n’y aura pas 36 solutions pour placer le contrôleur puisqu’une grosse partie de l’arrière est occupée par les emplacements de stockage.

Enfin, pour les disques durs, même chose, l’excédent de câbles sera rangé dans le bas, avec la « partie » RGB si l’on peut appeler ça ainsi.

Globalement, à l’intérieur du Panzer Evo RGB, on a de l’espace pour les GPU et le ventirad CPU. Les composants se mettent facilement en place. Néanmoins, on constate que la partie RGB occupe beaucoup d’espace à l’arrière et on ne pourra pas vraiment positionner le boîtier de contrôle où on le souhaite à cause de l’espace occupé par les emplacements de stockage.