Test : Asus ROG Zenith II Extreme TRX40

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Les outils pour clocker :

Débutons avec les éléments insérés sur le PCB et qui peuvent s’avérer être des outils intéressants pour les overclockeurs. Ils sont très nombreux sur ce modèle ce qui est devenu une habitude chez Asus sur le haut de gamme. Cela confirme bien sa position de carte dédiée à l’overclocking.

  • Le bouton power : permet la mise sous tension de la carte mère.
  • Le FlexKEY (reset) : permet de redémarrer la carte mère en cas d’échec. Le bouton peut-être désormais affecté à une autre tache comme la fonction Safe Boot ou la possibilité de desactiver le rétroéclairage AURA Light.
  • Safe Boot : permet de redémarrer la carte même si les paramètres choisis dans le bios ne permettent pas le boot. Cela évite de devoir faire un Clear CMOS pour rebooter et donc de perdre vos paramètres encodés.
  • ReTry Button : lors de tests sous froid, parfois l’OS freeze et un reset ne permet pas de redémarrer la carte mère : seule solution 6, 7 secondes en maintenant appuyé le bouton START. Avec le bouton ReTry, ça redémarre de suite.
  • Switch bios : permet de switcher entre les deux bios. Vous pouvez ainsi choisir d’avoir un bios « overclocking » et un bios plus stable pour une configuration H24.
  • Slow Mode : permet de booter avec un coefficient de 16x et une fois dans l’OS de remettre celui choisi dans le bios. Sous froid, si vous voulez atteindre 6GHz en 60x100MHz, en activant le Slow Mode, vous bootez en 16×100 et dans l’OS, hop vous revenez à 60×100. C’est surtout pour des max screens.
  • RSVD : permet lorsqu’il est activé sous froid (-120 °C), d’éviter les « Cold boot bug ».
  • Full Speed Mode : permet de passer la vitesse de tous les ventilateurs connectés à 100%.
  • LN2 Mode : permet d’activer les profils LN2 dans le bios.
  • Le Q LED : 4 diodes (CPU – DRAM – VGA – BOOT) qui permettent de diagnostiquer les erreurs lors du boot de la carte. Si l’une d’entre elles reste allumée, c’est que le composant qui lui correspond pose problème.
  • Le Debug Led : permet d’afficher un code qui correspond au composant responsable de l’erreur lors du boot. Ceux-ci s’affiche à présent sur l’écran OLED et la liste des codes se trouve au sein du manuel.
  • Le CLR CMOS : permet d’effacer les paramètres du BIOS afin de revenir à ceux par défaut.
  • Le M.2_3 : permet via un switch de désactiver l’emplacement SSD M.2 positionner à l’arrière du PCB.
  • ProbeIT : permet de mesurer les tensions à l’aide d’un multimètre directement sur le PCB.
Pour aller plus loin :
Test - Kingston XS1000 2TB - SSD Externe

Le PCB :

Notre Rampage VI Extreme Encore se base sur une alimentation en 16 + 4 + 2 + 2 phases (CPU + SOC + MEM + MEM). Les 16 mosfets sont quant à eux tous des Infineon TDA21472 de 70A groupés en parallèles par phase et ainsi permettre de les dédoubler sans avoir recours à des doubleurs. Nous sommes ici sur un étage d’alimentation très costaud mais malgré cela, Asus a aussi dans sa gamme une Zenith II Extreme Alpha disposant de mosfets Infineon TDA21490 de 90A pour accueillir le Threadripper 3990X.

Le contrôleur numérique Digi+ ASP1405I, placé derrière le PCB, va gérer l’étage d’alimentation VCORE + SOC. La carte mère dispose aussi de 4 phases SOC qui se trouvent sous le socket de notre Zenith II Extreme et surmonté d’un petit radiateur.

Les connectiques :

La façade arrière dispose des éléments suivants. La façade arrière dispose des éléments suivants. Tout d’abord le Clear CMOS ainsi que le bouton permettant de flasher le bios à partir d’une clé USB. On retrouve ensuite les supports d’antennes pour le Wi-Fi et Bluetooth.

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Au niveau des ports USB, cette Zenith II Extreme dispose de quatre USB 3.2 Gen 1, de cinq USB 3.2 Gen 2 Type-A, d’un USB 3.2 Gen 2 Type-C et d’un USB 3.2 Gen 2×2 Type-C. Enfin, on retrouve les différentes sorties audio.

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